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Les marges du Soleil. Un théâtre hors les normes

Les marges du Soleil. Un théâtre hors les normes

L’Harmattan – Univers théâtral

Présentation

Coordinatrices : Sandrine Siméon (Soka University of America) et Agathe Torti Alcayaga (USPN)

Contributeur·tice·s : Celia Daniellou-Molinie, Corinne Gibello, Pierre Longuenesse, Judith Graves Miller, Franck Pendino, Sylvie Perault, Serge Proust, Eliakim Sénégas-Lajus, Susie Vusbaumer, Rachel Morris Watson

Éditeur : L’Harmattan, Collection : Univers théâtral

Résumé :

Cet ouvrage explore de quelles manières les éléments de décentrage mis en œuvre au Théâtre du Soleil participent à la centralité de son projet artistique. Un vide incontestable existe dans la production universitaire et critique à ce sujet, que nous proposons de combler à l’aide d’une équipe de spécialistes dont nous avons organisé les contributions selon trois axes. Le lieu : situé à la périphérie de Paris, loin des mémoires théâtrales parisiennes normatives, le Soleil est un lieu propice au foisonnement de l’inventivité dramatique. Le jeu : l’adoption de traditions scéniques souvent lointaines, de techniques de jeu exogènes, rend cette troupe dépositaire de l’art théâtral tout entier. La transmission : ni sa fondatrice, ni ses membres, ni son public ne sont prêts à baisser le rideau pour la dernière fois, mais comment prolonger dans le temps une telle entreprise ? La question du devenir se pose aujourd’hui pour l’institution sortie des marges qu’est devenu ce théâtre.

Table des matières :

I. Le lieu

–       Cuisine et bienveillance, le Théâtre du Soleil et la marge nourricière. Agathe Torti Alcayaga      

–       Communauté ascétique, domination charismatique et rupture avec
la rationalisation étatique.
Serge Proust    

–       Les coulisses à vue du Théâtre du Soleil : rendre palpable l’invocation du théâtre. Eliakim Sénégas-Lajus

–       Jean-Jacques Lemêtre au théâtre du Soleil :  maître ou serviteur de scène ? Pierre Longuenesse   

II. Le jeu         

–       L’acteur, le masque et la marionnette dans Tambours sur la digue. Susie Vusbaumer

–       Une maïeutique originale : la construction du personnage et de son costume
au Théâtre du Soleil
. Sylvie Perault

–       (Re)membrance depuis la marge. Rachel Morris Watson

–       Aux marges du Méchant : incarner un personnage « méchant » au Théâtre du Soleil, entre dénonciation et émotion. Célia Daniellou-Molinié

III. La transmission

Les enfants nord-américains du Soleil : inspiration, résonances, écarts. Judith G. Miller

Le film-théâtre, « vrai film de cinéma » ou film hors-norme ? Sandrine Siméon

Les archives en marge du Théâtre du Soleil. Corinne Gibello-Bernette et Franck Pendino, avec Liliana Andreone   

Lien vers le site de l’éditeur : https://www.editions-harmattan.fr/index.asp

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L’hystérie sur scène. Des Leçons de Charcot à l’enseignement de Freud et de Lacan, Hermann. 2016

d’Anne Bourgain-Wattiau, Pascale Molinier, Marie-Laure Abecassis (dirs.)

L’hystérie est à l’origine de la révolution freudienne. Mais avons-nous saisi toute la portée de ce changement introduit par Freud dans l’appareil du langage auquel se référait Charcot ? Celui-ci est pourtant décisif : au sein du dispositif analytique, l’hystérique ne doit plus seulement se faire voir, mais aussi se faire entendre, et surtout s’entendre dire. Avec Freud, l’objet du regard devient interne. Cet ouvrage, qui s’ouvre sur une présentation de la fameuse bibliothèque Charcot, met l’hystérie en scène selon différents angles (historique, sociologique, clinique, littéraire et théâtral) et interroge le lien entre hystérie et théâtre. Les auteurs montrent à quel point l’apport freudien modifie radicalement le rapport de maître à élève et de médecin à patient, jusqu’à l’invention de l’analyse profane, et comment l’enseignement de Lacan invite à garder la force subversive de cette découverte. Ce livre, qui convoque quelques figures de l’hystérie dans la clinique contemporaine mais aussi dans la littérature théâtrale, s’achève sur une version condensée de la pièce d’Antonio Quinet, La Leçon de Charcot, qui redonne corps à la célèbre présentation de malades hypnotisés de la fin du XIXe siècle.

Contributeurs

Marie-Laure ABECASSIS, Victor-Georges BARANOWSKI, Gabriel BINKOWSKI, Anne BOURGAIN, José Eduardo COSTA SILVA, Marco Antonio COUTINHO JORGE, Aline DE LUNA MORAES, Alain DIDIER-WEILL, Jean-Pierre DRAPIER, Pascal DUPOND, Marie JEJCIC, Marina KOUSSOURI, Paolo LOLLO, Anne LONGUET MARX, Regina MIRANDA, Pascale MOLINIER, Christian PISANI, Antonio QUINET, Réni SABATHIER, Juliette VION-DURY

Édition HERMANN, COLLECTION HORS COLLECTION, 254 pages – 15×23 cm – 28 €
ISBN : 978 2 7056 9169 1

Pour plus d’information, télécharger les documents suivants

À propos des auteurs

Anne Bourgain est psychanalyste, membre du Cercle freudien et maître de conférences HDR à l’université Paris-13.

Marie-Laure Abécassis est psychologue clinicienne. Elle travaille sur les figures du père et le complexe paternel dans la clinique contemporaine.

Pascale Molinier est professeur de psychologie du travail à l’université Paris-13 et est directrice du laboratoire UTRPP.

L’hystérie sur scène. Des Leçons de Charcot à l’enseignement de Freud et de Lacan, Hermann. 2016 Lire la suite »

Camille Bloomfield, “Clémentine Mélois : du roman-photo au mème Internet, quand la culture populaire se fait oulipienne”

La prochaine séance du séminaire de l’axe 4 sur la plurimédialité aura lieu mardi 8 novembre 2022, de 13h30 à 15h15 dans l’Amphi 4 (Villetaneuse). Nous aurons le plaisir d’écouter la conférence de Camille Bloomfield, intitulée “Clémentine Mélois : du roman-photo au mème Internet, quand la culture populaire se fait oulipienne”.

Résumé :

Clémentine Mélois, artiste-plasticienne contemporaine et écrivaine, semble avoir fait de l’exploration des chemins de traverse sa ligne directrice, et de la plurimédialité une caractéristique centrale de son travail. Formée aux Beaux-Arts de Paris et cooptée en 2017 au sein du prestigieux groupe littéraire l’Oulipo (fondé par Raymond Queneau et François Le Lionnais en 1960), elle s’est d’abord spécialisée dans le livre d’artiste, avant de réaliser sa première œuvre d’envergure : la collection des Cent titres, ensemble de détournements par le titre, la couverture ou le nom de l’auteur, de cent classiques de la littérature mondiale. C’est ainsi que Moby Dick de Melville est devenu Maudit Bic, que L’écume des jours est devenu Légume des jours, par un certain « Boris Viande », et que l’héroïne de Marguerite Duras « Lol V. Stein » a été renommée « Lol mdr V. Stein ». Les photographies de cette collection sont vite devenues virales sur Internet, tant elles correspondaient bien à la culture numérique du même, et de la culture classique détournée par la culture populaire (les références à la télévision, à Internet, au roman noir ou à la BD par exemple sont nombreuses). Or avant d’être reprises en photographie sur Internet, ces œuvres sont d’abord de vrais artefacts, minutieusement fabriqués par l’artiste de sorte à ressembler à leurs éditions originales. Il y a donc, au-delà du jeu, un savoir-faire, une technique.

Mais le livre d’artiste et la photographie plasticienne ne sont pas les seuls médiums exploités par Clémentine Mélois : autrice, avec Jan Baetens, d’un roman-photo sur le genre du roman-photo, mais aussi d’un essai sur la lecture et ses petits plaisirs (Dehors la tempête, Grasset, 2020)elle est aussi friande d’installations (son exposition à la Galerie Lara Vincy en 2020 était aussi créative sur le plan de la scénographie et des installations), de conférences-performances (comme sa prochaine à la Maison de la poésie, intitulée non sans provocation « De Baudelaire à Pif Gadget »), amatrice de GIF animés, de vidéos, de peinture (elle excelle en imitation et détournement de tableaux classiques) ou encore de confection d’objets contenant, la plupart du temps, un élément textuel humoristique ou décalé. On l’a même aperçue comme actrice dans un roman-photo de Fabcaro et Eric Judor, Guacamole Vaudou.

Aussi, explorer cette œuvre sous l’angle de la plurimédialité, c’est en étudier le caractère éminemment contemporain, ce que Magali Nachtergael a nommé « le devenir-image de la littérature » ou la « néolittérature » ; c’est aussi comprendre le lien étroit qu’il peut y avoir entre le recours à différents médiums et l’engagement presque politique de l’artiste à faire se rencontrer culture populaire et culture « légitime » ; c’est enfin s’intéresser aux modes de diffusion originaux qui accompagnent cette plurimédialité, de la galerie d’art contemporain ultra select à la diffusion gratuite sur les réseaux sociaux, et à la reconfiguration du rapport à son public qui en découle.

Nous espérons vous retrouver nombreux.ses à cette occasion.

Bien à vous,

Christèle et Valérie

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Lignes et pouvoir à l’âge classique

Lignes et pouvoir à l’âge classique, Stanis Perez, Editions Jérôme Millon, 2022

Présentation

« À partir de la Renaissance, l’Occident a commencé à penser le monde et les choses à partir de lignes droites, d’effets de symétrie et de plans organisés en toile d’araignée. Les savoirs et les pouvoirs se sont progressivement structurés autour d’un discours obéissant à la géométrie et à ses nombreux avatars. Un nouveau culte de l’optique et du regard s’est alors étendu à des domaines aussi divers que les arts graphiques, l’architecture ou l’urbanisme. Un Grand alignement s’est fait jour et, d’une façon insoupçonnée, il a concerné autant l’ornementation que la diplomatie, autant la morale que la pensée politique. De l’Hercule gaulois enchaînant ses sujets grâce à son éloquence jusqu’à l’invraisemblable camisole de l’agresseur de Louis XV, en passant par la cartographie et l’art des jardins, on a assisté à une nouvelle appréhension des individus, des objets et, finalement, des espaces. De ce labyrinthe de lignes directrices a résulté une multitude de rapports de force, immobilisant l’individu au centre d’un univers rendu excessivement rationnel grâce aux principes de la géométrie euclidienne. À la marge de cette vaste toile virtuelle mais réelle, le Maître veille, silencieux et observateur, attendant que son artifice piège tous ceux qui chemineraient en liberté. Un fil d’Ariane est donc nécessaire. 

Lien vers l’éditeur

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Regards sur la critique de la littérature pour la jeunesse, Strenæ. Recherches sur les livres et objets culturels de l’enfance, nº12. 2017

Mathilde Lévêque et Virginie Meyer (dirs.)

Sommaire

Dossier thématique
  • Mathilde Lévêque et Virginie Meyer : Introduction
  • Francis Marcoin : Deux formes anciennes de la critique, l’éloge public et la correspondance privée
  • Cécile Boulaire : La critique périodique de livres pour enfants depuis l’après-guerre
  • Claudine Hervouët : « T’inquiète pas ma cocotte ! » ou L’analyse critique et La Revue des livres pour enfants
  • Isabelle Nières-Chevrel : Quand l’Université se saisit de la littérature d’enfance et de jeunesse,
  • Sonia de Leusse : Les booktubers, nouveaux critiques ?
  • Elisabeth Roux : La critique de la littérature pour la jeunesse dans la revue InterCDI
  • Marianne Berissi : Au cœur de l’image. La revue Hors Cadre[s]
  • Florence Gaiotti et Guillemette Tison : Une critique souterraine : le Prix du roman jeunesse
  • Alice Brière-Hacquet : Twilight : une critique en clair-obscur
  • Agnieszka Wandel : Le documentaire pour la jeunesse en Pologne avant et après 1989 : terminologie et critique
  • Bérénice Waty : Des maternelles jurés au Prix des Incorruptibles : une critique littéraire en herbe ?
Fonds d’archives et collections
Varia
  • Christophe Meunier : Images de l’urbain dans les albums pour enfants
Comptes rendus
  • Éléonore Hamaide-Jager : Euriell Gobbé-Mévellec, L’Album contemporain et le théâtre de l’image. Espagne, France
  • Sibylle Lesourd : Isabelle de Peretti, Béatrice Ferrier (dir.), Théâtre d’enfance et de jeunesse : de l’hybridité à l’hybridation
  • Bounthavy Suvilay : Anne Besson, Nathalie Prince, Laurent Bazin (dir.), Mondes fictionnels, mondes numériques, mondes possibles : adolescence et culture médiatique
  • Patricia Mauclair : Verónica Sierra Blas, Paroles orphelines – Les enfants et la guerre d’Espagne

>Pour lire le numéro, cliquer ici.

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Under Fire. William T. Vollmann, « The Rifles »: A Critical Study, Peter Lang. 2016

Françoise Palleau-Papin (ed.)

This study of a novel by William T. Vollmann offers a port of entry into his fiction. Like other titles from his planned «Seven Dreams» collection, The Rifles deconstructs the historical novel. Following in the steps of the nineteenthcentury English explorer John Franklin, the contemporary American character Subzero risks his life in the Arctic, looking for a way to transcend the history of colonization and his personal limitations. He ventures out on the permafrost of his memory, both private and collective, haunted by history as he revisits the Gothic genre. Deploying the poetry of an anachronistic errand into the white wilderness of snow and ice, in the wake of Herman Melville’s Captain Ahab and Edgar Allan Poe’s Arthur Gordon Pym, the narrator plays with avatars of the author as an explorer, a historian, a cartographer and a sketch-artist to encounter otherness, whether Inuit women or men, or fellow travelers who exchange with the authorial figure in his search for meaning. This critical analysis uses close-reading, ecocriticism, cultural studies and comparative literature to examine an innovative novel of the post-postmodern canon, by one of the finest contemporary American authors.

Contents

Françoise Palleau-Papin: Introduction • Catherine Lanone: From Franklin’s Narrative to Vollmann’s EcoGothic Metafiction • Vincent Bucher: Putting Historical Enquiry to the Test • Françoise Palleau-Papin: Composition as Infinity • Sophie Chapuis: Narrative Voices • Madeleine Laurencin: Female Characters: Between Role and Representation • Christine Lorre-Johnston: Generic Hybridity • Françoise Palleau-Papin: Postface.

Présentation de l’auteur

Françoise Palleau-Papin is Professor of American Literature at the University of Paris 13-Sorbonne Paris Cité, where she codirects the research center Pléiade. After completing a PhD dissertation on Willa Cather, she has published the first critical monograph on David Markson (2011), and edited two others (on Patricia Eakins, and William T. Vollmann).

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Autour du Feu d’Henri Barbusse. Revue d’histoire littéraire de la France. 2015

de Denis Pernot et Sylvain Ledda (dirs.)

Ce numéro constitue l’aboutissement de la journée d’études sur le même sujet qui avait été soutenue par le laboratoire Pléiade.

Table des matières

Autour du Feu d’Henri Barbusse Sylvain LEDDA et Denis PERNOT, Présentation
Jérémy CAMUS, Depuis Le Feu jusqu’à Clarté : sacralisation barbussienne de la Grande Guerre
Ariane CHARTON, Barbusse et Alain-Fournier
Hervé DUCHÊNE, Comme un Hermès à deux têtes : L’Appel du sol d’Adrien Bertrand et Le Feu d’Henri Barbusse
Benjamin GILLES, Le Feu face à ses lecteurs. Une expérience de la lecture en 1916-1918
Sylvain LEDDA, Requiem ou symphonie funèbre ? Réflexions sur la mort dans Le Feu
Denis PERNOT, La guerre hors Le Feu : suppliants et crieurs
Esther PINON, Du Feu à Jésus : Henri Barbusse et le sacré
Bernard PUDAL, Barbusse : jalons pour une étude d’un capital symbolique singulier
Danielle RISTERUCCI, Lire Le Feu d’Henri Barbusse à l’ombre du mur
Françoise SIMONET-TENANT, Du carnet de notes au Feu : transposition ou métamorphose ?
Denis PERNOT, Le lexique du Feu : six lettres d’Henri Barbusse à Gaston Esnault
Henri BARBUSSE, « L’Espion » (L’OEuvre, 21 août 1916)

Varia

Francesco MONTORSI, Les choux gras de Panurge, la croisade de Léon X et le schisme de Luther
Bruno TRIBOUT, Aspects de la mémoire des mazarinades : réception de Mazarin et critique politique sous Louis XIV
Makoto MASUDA, Théorie du rythme et poétique de la rêverie chez Jean-Jacques Rousseau
Alain VAILLANT, Paule PETITIER, Qui fait la bête fait l’ange. Notes sur l’oiseau romantique
Nadja COHEN, Littérature « pure » et cinéma dans les années 1920 : quelques frictions génériques

Notes et documents

Patrick LABARTHE, Georges Blin et l’« alchimie de la douleur »

Références

CollectionRevue d’histoire littéraire de la France”
ISBN : 978-2-13-065380-6
ISSN : 0035-2411
ISSN en ligne : 2105-2689

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